ED-YALEF
La promotion des idéologies et des savoirs au travers des œuvres spirituelles à caractère évangélique déclinent la raison d’être de ED-Yalef. Cette maison d’édition se positionne comme un élévateur sans discrimination pour ce qui concoure à l’épanouissement de l’esprit.
La Bible est-elle la parole de Dieu ?
Difficilement il viendrait à l’esprit de celui qui lit la Bible de se poser la question de savoir si elle est la parole de Dieu. En effet s’interroger « La Bible est-elle la parole de Dieu ? » est intriguant. Cette interrogation n’est certainement pas une nouveauté dans le monde scientifique. Si l’on considère l’Afrique comme contexte de rédaction et le personnage de l’auteur de ce livre, on verra la nouveauté et la pertinence de la question abordée dans ce livre. Disciple de Jésus christ selon la tradition chrétienne, et Pasteur, Pr. Aimé-Désiré GOUEM, invite ses lecteurs à une autre dimension non classique de la fréquentation de la Bible.
Dans la Bible on distingue les races les cultures et les traditions. Ainsi deux grandes cultures émergent ; hébraïque et grecque. On serait en droit de se demander si Dieu ne se serait-il révélé qu’à ces peuples en ignorant l’Afrique qui est le berceau de l’humanité ? L’historicité de la Bible nous permet de constater qu’elle est un support de la foi. La Bible présente l’expérience que quelques peuples auraient faite de leur Dieu. Produit des Conciles, la Bible s’est imposée aux plus faibles en disqualifiant les hérétiques. La force des intérêts personnels a élevé la Bible au rang de parole de Dieu. D’où la question la Bible est-elle parole de Dieu ?
Comment un document rédiger dans les mêmes circonstances classiques que les autres livres serait-il parole de Dieu ? Au plus haut niveau de l’anthropomorphisme dans la Bible, les lecteurs ont très tôt considéré ce document religieux comme étant la parole de Dieu. Et pourtant, juste une simple méditation sur les écrits de la Bible démontre à suffisance, qu’elle n’est qu’un document dont son élévation au titre de parole divine n’émane que de la foi ; foi de celui l’atteste comme tel.
Le salut en tant que bien-être est l’objet de quête permanente dans l’humanité. Les religions en ont fait leur activité principale. Dans la pluralité de religions qui existent, où trouver le salut ? Et quel serait le contenu de ce Salut ?
Ce livre présente la quête du salut comme le résultat des angoisses que vit l’humain. Les incertitudes et la précarité de la vie justifient la quête du salut. Dans cet imbroglio le Pr. Aimé-Désiré GOUEM tente de démontrer que non seulement c’est une problématique très souvent mal formulée, mais aussi de dire que le salut est une utopie. Le salut n’existe nulle part ailleurs qu’en soi. Autrement dit les religions ne sont qu’une continuité, une source de création de nouvelles crises. Si hier l’Africain a essayé de résoudre ses problèmes à partir de son cadre de vie, il y a quelques années on lui a dit que les éléments de son milieu de vie ne suffisaient plus pour répondre à ses questions vitales. Il a désormais intégrer de nouvelles données. Mais au finish, il est resté sans réponses. Mais avant ce manque de réponses, il se voit davantage dépouiller de ce qu’il possédait ; d’où la confusion totale.
Vers la quête du salut nous renvoie à nous-mêmes. Pour celui qui cherche le salut comme s’il est perdu, ce livre te dit que le salut n’est dans aucune des religions classiques connues. A la suite des grands penseurs de l’histoire la civilisation humaine, et s’il y a lieu de parler de salut, Jésus Christ dira que le salut est en chacun d’entre nous lorsqu’il affirme ; « Et on ne dira point : voici, il est ici; ou voilà, il est là; car voici, le Règne de Dieu est au-dedans de vous. » Luc 17 :21